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Selon une étude réalisée par SUEZ à l’occasion de la semaine européenne des déchets, 34% des Français ont modifié leurs pratiques en matière de réduction des déchets à la faveur de la crise Covid-19
Le meilleur déchet est celui qui n’existe pas. Pour autant, l’évolution de nos modes de vie, la transformation de nos sociétés et l’évolution démographique entraînent la nécessaire prise en charge de ce qui est malgré tout produit en quantité. Longtemps l’économie linéaire a dominé se résumant à extraire, produire, consommer, jeter. Aujourd’hui, le constat est sans appel : il nous pousse à passer à un autre modèle car l’équation de la ressource impose le principe de l’économie circulaire. Au cœur des enjeux du XXI -ème siècle et inscrite dans la raison d’être de SUEZ, elle constitue une opportunité unique de réconcilier croissance et environnement. Il y a urgence. La crise sanitaire du Covid-19 nous le rappelle cruellement.Fabrice Rossignol , Directeur Général Délégué Recyclage & Valorisation France
La crise sanitaire : accélératrice d’une prise de conscience
A travers cette étude réalisée par le cabinet .becomingwithMarketAudit, SUEZ livre ici un état des lieux du comportement des Français et de leurs pratiques en matière de réduction des déchets. La crise sanitaire a eu un impact réel au point de modifier les pratiques : 34% des personnes interrogées déclarent que la COVID-19 a fait évoluer leur comportement vis-à-vis de la réduction des déchets.
- Aujourd’hui, un tiers des Français estime que la crise sanitaire a modifié leur comportement dans la réduction des déchets. Cela confirme les études menées dans tous les domaines depuis le déconfinement. La crise a accéléré certains comportements déjà présents.
- Les plus jeunes ont été davantage impactés (54% pour les 18-24 ans).
70% des Français trouvent facile de réduire leurs déchets
Pour faciliter le geste de tri, SUEZ a développé une application baptisée « monservicedechets.com » ; disponible gratuitement sur smartphones et tablettes. Grâce à cette solution digitale, en scannant le code-barres d’un emballage, le citoyen sait si ce dernier est recyclable, et comment trier ce déchet en fonction des consignes locales.
Circuits courts et vrac en tête des pratiques pour réduire ses déchets
Consommer l’eau du robinet : un moyen simple pour réduire ses emballages plastiques
Deux tiers des personnes interrogées déclarent consommer régulièrement l’eau du robinet et 8 sur 10 la boivent au moins occasionnellement. Elle présente par ailleurs un avantage économique avec un gain de pouvoir d’achat de l’ordre de 300 € par an et par foyer.
Les principaux freins identifiés à la consommation de l’eau du robinet sont liés au goût et au calcaire (source : Baromètre CIEau 2020). Afin de répondre aux attentes des consommateurs et des collectivités, SUEZ développe des procédés pour réduire la présence du calcaire (décarbonatation) depuis les usines de traitement d’eau potable.
La bonne dynamique du réemploi
32% des personnes interrogées se tournent vers le réemploi ou l’achat de seconde main de manière régulière et 46%* y ont recours occasionnellement. Une pratique qui n’a cessé de progresser ces dernières années, encouragée par le développement des sites d’achat et de vente entre particuliers, mais aussi par l’essor des recycleries.
SUEZ propose des solutions qui dynamisent ces circuits du réemploi. Le groupe travaille en collaboration avec des partenaires spécialisés, souvent issus du monde de l’Economie Sociale et Solidaire. Aujourd’hui, SUEZ associe des recycleries aux déchèteries, qui deviennent des lieux de réparation, réemploi, réutilisation.
Le compostage des biodéchets : une pratique liée à la typologie de l’habitat
A l’échelle des collectivités, la collecte des biodéchets permet une valorisation sous la forme de compost, mais aussi de biogaz. A travers les Centres de Valorisation Organique qu’il exploite, SUEZ a déjà valorisé en 2020 plus de 156 000 tonnes de déchets en 5 000 000 m3 de biogaz. Ensuite réinjecté dans le réseau, celui-ci permet d’alimenter les réseaux de chaleur urbains ou encore des flottes de bus fonctionnant au gaz. Par ailleurs, un centre de recherche international sur les biodéchets, baptisé BioRessourcesLab, est en cours de création par SUEZ à Narbonne. Il devrait voir le jour en 2021.
Cible : 1 000 interviewé(e)s par volet d’enquêtes, représentatifs de la zone ciblée.
L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de région, et de catégorie socioprofessionnelle.
Soit :
Type de recueil : étude menée par voie électronique
Date de terrain : du 12 au 22 Octobre 2020
Tris systématiques : les tris ont été réalisés systématiquement sur les données signalétiques (genre, âge, région ou département, profession, type de logement, taille de la commune, nombre de personnes dans le foyer). Si ces analyses ne sont pas concluantes alors les données ne sont pas reprises dans le rapport.
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