Egalité Femmes Hommes : des résultats qui confirment un engagement de longue date

L’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est au cœur de la politique RH de SUEZ et ces premiers résultats positifs viennent confirmer les engagements pris et la volonté du Groupe sur le sujet. En France, SUEZ comptait 30 842 salariés à fin 2018, les index ci-dessous concernent 13 475 salariés, soit 44 % de l’effectif.

Le nombre de femmes salariées par SUEZ en France progresse régulièrement depuis plusieurs années, s’établissant à fin 2018 à 24% au sein de l’ensemble de l’effectif (pour 23,2 % à fin 2017) et à 33,4 % parmi l’encadrement (pour 32,3 % à fin 2017).

Ces évolutions sont rendues possibles par une politique de recrutement volontariste : 30,8 % de femmes parmi les 2 510 personnes recrutées en CDI en 2018 (24,4 % en 2017), 41,9 % de femmes parmi les 608 cadres recrutés en CDI en 2018 (36,8 % en 2017).

Parce que la révolution de la ressource a besoin des femmes, nous nous engageons chez SUEZ à ce que davantage de femmes puissent nous rejoindre. Nous avons pris en 2018 un nouvel engagement : dorénavant dans tous nos recrutements de managers, 50 % des candidatures sélectionnées seront des femmes.

• SUEZ Eau France : 89 sur 100
• SUEZ Recyclage et Valorisation Centre Est : 76 sur 100
• SUEZ Recyclage et Valorisation Ile-de-France : 83 sur 100 (*)
• SUEZ Recyclage et Valorisation Nord Est : 93 sur 100
• UES SUEZ Recyclage et Valorisation Energie : 83 sur 100
• UES SUEZ (Siège) : 94 sur 100

Après pondération selon l’effectif des entités, l’index global ressort à 88.

La publication à venir des autres entités françaises de plus de 50 salariés selon le calendrier rappelé ci-dessus donnera alors une vision complète et participera à l’orientation de la politique d’égalité professionnelle et à la détermination des mesures prioritaires à poursuivre.

(*) l’index de SUEZ RV Ile de France est publié à titre indicatif : cette entité est certes concernée par le calcul de l’index au regard de son effectif mais l’application de la méthodologie de calcul définie dans le Décret conduit au constat d’un index non calculable au motif d’une population éligible au calcul insuffisamment représentative (répartition hommes/femmes) sur deux des cinq indicateurs.

Sous la forme d’un résultat sur 100, l’index de l’égalité femmes-hommes, qui fait l’objet d’une méthodologie commune définie par Décret, se compose de cinq indicateurs de mesure : écarts de rémunération entre les femmes et les hommes, à poste et âge comparables, écart dans les augmentations individuelles et dans les promotions entre les femmes et les hommes, augmentations au retour de congé de maternité, répartition sexuée des dix salariés ayant les plus hautes rémunérations.

Chaque année, les entreprises françaises de plus de 50 salariés doivent publier le résultat obtenu à l’index d’égalité femmes-hommes. S’il est inférieur à 75 sur 100, un délai de mise en conformité de trois ans s’ouvre afin de mettre en œuvre les mesures adéquates de correction des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes permettant ainsi l’obtention d’un résultat supérieur ou égal à 75.

L’obligation s’applique aux entreprises de plus de 1 000 salariés au 1er mars 2019. Suivront les sociétés comprenant entre 250 et 1 000 salariés au 1er septembre 2019. Enfin, les entreprises de 50 à 249 salariés seront soumises à l’index à partir du 1er mars 2020.